Sous la pression de François Bernardini et le désaveu de sa propre majorité municipale, Michel Caillat, Maire d'Istres, a démissionné le 3 novembre 2006. La manoeuvre est loin d'être élégante puisqu'elle connsisterait à barrer le chemin à F. Bernardini et à ses alliés. Ce faisant, M. Caillat n'hésite pas, cédant à son ego et provoquant des éléctions anticipées, à releguer les échéances nationales au second plan. Nicole Joulia représentera le courant Bernardini aux municipales, sans négliger les enjeux nationaux.
Ci-dessous, la chronique d'une félonie annoncée:
"J'avais donc prévu un troisième article pour valider ma démarche auprès de vous, en vue d'un retour sur la scène politique istréenne.;
Un petit résumé permet de rappeler avec le premier écrit les circonstances qui ont concouru à mon retrait, et si en toute conscience elles m'apparaissaient rédhibitoires.
Dans le deuxième je décrivais les modalités que je souhaitais indispensables à savoir l'apaisement nécessaire avec certains de mes anciens adversaires en précisant leur degré d'aboutissement.
Dans le dernier je comptais vous transmettre la conclusion de ma réflexion à la lumière de tous ces paramètres expliqués de la manière la plus transparente.
La seule apparition de toutes ces lignes, leur sens et leur contenu, a déclenché un tel intérêt, notamment 76 000 consultations; dans le dernier cas, et un émoi si ahurissant que la vie politique s'est embrasée au point de consumer notre maire; dans une démission croquignolesque.
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samedi, novembre 04, 2006
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